Providence Guéthary est un lieu de passage où il est agréable de s’éterniser, que ce soit pour se restaurer, pour prendre un verre, rencontrer un des chefs invités ou juste pour le premier café du matin. Cet endroit a été imaginé par Antoine et Caroline Piechaud et n’était au départ qu’un espace d’expositions et de rencontres. Petit à petit il est aussi devenu l’une des bonnes tables de la côte basque.
Restaurant Providence Guéthary
Depuis le 3 juillet et durant tous l’été, Les frères Scarpetti sont en cuisine. Venez les rencontrer avant le 1er septembre. Le restaurant ne prend pas de réservation. Les premiers arrivés seront les premiers servis. Les assiettes photographiées sont celles de Thibaud Simonet, Chef en résidence lors de notre venue.
Pourquoi y aller ?
Ce lieu atypique évolue au cours de l’année et de la journée. La meilleure place où se poser est (à notre avis) en terrasse devant le petit-haut comptoir. C’est l’endroit parfait pour regarder passer touristes et habitants du village.
A ne pas manquer
Venir tôt pour avoir une table et se laissez guider dans le choix des vins.
Ambiance
Providence Guéthary est un passage incontournable, teinté de douceur de vivre à la hauteur de sa réputation.
Les Chefs en résidence : de Céline Pham à Tamir Nahmias
Nous sommes venus le 30 juin, dernier jour de résidence du Cuisinier-DJ Thibaud Simonet. Ce passage à Providence Guéthary était sa première expérience en tant que chef. Nous avons apprécié et découvert sa cuisine d’inspiration japonaise adaptée et soulignée d’éléments et ingrédients du Pays Basque.
La Chef Elsa Marie a elle aussi participé à l’aventure de Providence Guéthary. Pour ceux qui ont aimé sa cuisine, nous vous invitons à la retrouver à Paris, au restaurant La vierge de la Réunion
Une autre bonne adresse à Guéthary ?
Pour prendre un verre plus près de l’Océan : Hétéroclito
Vous cherchez un hôtel à Guéthary ?
L’Hôtel Balea est situé dans les bâtiments de l’ancienne école communale. Légèrement en retrait du village ce lieu est calme et accueillant.
Mis à jour avril 2020 / Textes et photos Lisa Klein Michel